Plastique, tissé ou papier : quel sac à déchets verts choisir ?
Le sac à déchets verts permet, comme son nom l’indique, de stocker et transporter aisément les déchets végétaux. Fourni par les collectivités locales, et commercialisé dans les magasins de jardinage et bricolage, il possède plusieurs déclinaisons selon sa forme ainsi que le matériau avec lequel il est fabriqué. A cet effet, il existe un modèle de sac en papier. Comparé aux autres types de sacs, il présente plusieurs avantages. Cet article en développe quelques-uns.
Les différents types de sacs à déchets verts
Un sac à déchets verts peut être en plastique (en polyéthylène), tissé ou en papier. Le sac en polyéthylène est encore le modèle le plus répandu sur le marché. Toutefois le plastique présente de nombreux inconvénient. Il n’est avant tout pas biodégradable ce qui, en soit, devrait être déjà un motif suffisant pour le bannir à jamais. Ensuite, sa matière, ne participe pas au compostage et demande donc plus de traitement puisque le sac doit être vidé afin de séparer le contenu (vos déchets verts), du contenant (le sac en plastique).
Le sac en papier constitue le sac à déchets verts par excellence. En effet, il possède plusieurs atouts que les jardiniers peuvent exploiter.
Les avantages du sac à végétaux en papier
Solide et plus étanche qu’on ne le pense, le sac à déchets verts en papier remplace efficacement le sac en plastique. Fabriqué à partir de papier Kraft, ce sac est également résistant. Lorsqu’il s’agit de sac à déchets verts « double feuille », sa résistance est démultipliée et permet de transporter des petits branchages sans se perforer.
De plus, il tient debout tout seul une fois ouvert et facilite d’autant plus son remplissage.
Enfin, il préserve l’environnement puisqu’il est biodégradable. Cette dernière caractéristique du papier constitue un de ses principaux avantages. Ainsi, ce type de sac peut servir à la fabrication du compost.
Il participe même à la fertilisation du sol. Le sac en papier peut avoir d’autres fonctions, comme le stockage des plantes, car il permet aux composants organiques du terreau de respirer jusqu’à la mise en terre.